Des nouvelles de notre commune de Grimaud
Et sur VM du 28/9, "vent de colère"... Comme je l'avais annoncé dans une note en date du 19 avril dernier, "Attention à votre porte-monnaie, la communauté de communes et le département vont s'en occuper (VM 18 & 19 avril 2015)"
19 avril 2015
Et dire que pour le moment, on a reçu que les taxes foncières !
Pourquoi ces inégalités entre départements ?
+ 15,01 % pour la taxe sur les ordures ménagères
et quand même 110 € pour les frais de gestion de la fiscalité directe locale !
À votre bon coeur !
Pour ou contre le tiers payant généralisé ? 19 médecins députés s’expliquent dans le Quotidien du Médecin
18 avril 2015
C'est formidable ces Députés de la République qui militent mais ne vont pas voter en disant qu'ils soutiennent les Médecins contre cette loi scélérate.
Et comble de tout, ils proposent de rendre le vote obligatoire pour les citoyens... Qu'ils commencent par s'appliquer quelques règles de bienséance à eux mêmes avant de venir donner des leçons.
Quand à notre Député Docteur, lui, il est aux abonnés absents.
Pour ou contre le tiers payant généralisé ? 19 médecins députés s’expliquent
Stéphane Long
18.04.2015
Dr Bernard Accoyer (UMP) : « Le système de soins va être étatisé »
CONTRE. Le député UMP n’a pas participé au vote de l’article 18. Mais il a activement milité contre cette mesure durant les débats. S'adressant à Marisol Touraine, il a assimilé la réforme à une bombe pour le système de santé. « Le tiers payant généralisé est une double bombe. Une première bombe contre notre système de soins que vous allez étatiser. Et une seconde bombe contre le système d’assurance-maladie que vous allez poussez vers une privatisation rampante et certaine. » « Tous les médecins sont opposés. Entendez les médecins. Lorsqu’une profession est unanime à refuser et à s’opposer à une mesure, c’est qu’il y a autre chose qu’une posture syndicale, autre chose qu’une posture politique. Les médecins sont très nombreux au bord du burn out. Comment pouvez vous oser leur imposer de passer des heures pour essayer de récupérer ce financement auprès des 500 sas complémentaires. C’est une provocation indécente. »
Crédit : S. Toubon
Le 9 avril, l’Assemblée nationale adoptait l’article 18 de la loi de santé, synonyme de généralisation du tiers payant d’ici à fin 2017. 35 députés participaient au scrutin parmi lesquels 8 médecins (3 votes pour, 5 contre), sur la trentaine de praticiens siègeant dans l’hémicycle. Que pensent-ils de cette disposition censée améliorer l’accès aux soins des Français et à laquelle une majorité de confrères sont hostiles ? « Le Quotidien » a recueilli leur position sur le sujet.
Contactés par « le Quotidien », les Drs Jean-Paul Bacquet, Jean-Michel Couve, Sauveur Gandolfi-Scheit, Denis Jacquat, Philippe Nauche et le Pr Jean-Louis Touraine n'ont pas été en mesure de répondre à nos sollicitations.
VM 14 4 2015 : le Lions Club "dépiste" le diabète
18 avril 2015
Le château de Grimaud à l'honneur (VM 17 04 2015)
18 avril 2015
VM 14 4 2015 : bénédiction de l'orgue en l'église Saint Michel
14 avril 2015
VM 10 4 2015 : un conseil municipal agité pour le budget (et commentaires à lire sur "http://grimagora.blogspot.fr/" ce jour)
11 avril 2015
Les 10 maladies de l'homme
10 avril 2015
Les dix maladies de l’homme.
Le Pape François a prononcé à Noël un discours devant la Curie.
Claude Cappez, gouverneur Sud-Est 2014-2015 pour le Lions Club, en a fait une relecture pour les membres de ce club service.
Je n’hésite pas à l’adapter à notre société. Bonne lecture.
À la suite du Pape, les réactions des prélats furent nombreuses et plutôt négatives.
Mais à la lecture de cette intervention, j’ai pensé que les maladies dont le Pape parlait, pouvaient avec quelques modifications concerner l’homme d’une façon générale et j’ai eu envie de vous donner ces éléments de réflexion afin d’alimenter vos échanges.
L’antidote à celui qui se sent « immortel », « IMMUNISÉ » OU TOUT À FAIT « INDISPENSABLE » EST DE VOULOIR SERVIR SA COMMUNAUTÉ ET DE SAVOIR DIRE DE TOUT CŒUR
« ON NE PEUT ALLER BIEN LOIN DANS LA VIE SI L’ON NE FAIT PAS QUELQUE CHOSE POUR QUELQU’UN D’AUTRE »
NOUS NE SOMMES QUE DE SIMPLES SERVITEURS,
NOUS NE FAISONS QUE NOTRE DEVOIR.
1/La maladie de celui qui se sent « immortel’’ « immunisé ou tout à fait « indispensable » et qui néglige les contrôles nécessaires et habituels.
Un homme qui ne fait pas son autocritique, ne s’ajuste pas en permanence, ne cherche pas à s’améliorer, est un corps malade, infirme. Une simple visite au cimetière nous permettrait de voir les noms de nombreuses personnes dont certaines pensaient peut-être qu’elles étaient immortelles, immunisées et indispensables ! C’est la maladie de l’homme riche et insensé qui pensait vivre éternellement, et de tous ceux qui se transforment en maître et se sentent supérieurs à tous, et non au service de tous. Elle découle souvent de la pathologie du pouvoir, du « complexe des élus », du narcissisme qui consiste à regarder passionnément sa propre image et ne pas voir l’image imprimée sur le visage des autres, spécialement des plus faibles et des plus nécessiteux. L’antidote à cette épidémie est de vouloir servir sa communauté et de savoir dire de tout cœur « on ne peut aller bien loin dans la vie si l’on ne fait pas quelque chose pour quelqu’un d’autre »… Nous ne sommes que de simples serviteurs, nous ne faisons que notre devoir.
LA MALADIE DE L’INDIFFÉRENCE ENVERS LES AUTRES EST LA PLUS GRAVE pour un homme.
Elle survient quand chacun NE PENSE QU’À SOI ET PERD LA SINCÉRITÉ ET LA CHALEUR DES RELATIONS HUMAINES.
Quand, par jalousie ou par ruse, ON ÉPROUVE DE LA JOIE À VOIR L’AUTRE TOMBER AU LIEU DE LE RELEVER ET DE L’ENCOURAGER.
2/ Il y a aussi la maladie de la pétrification mentale et spirituelle.
Ceux qui en sont atteints possèdent un cœur de pierre et une nuque raide. Ce sont ceux qui, chemin faisant, perdent leur sérénité intérieure, la vivacité et l’audace, et se cachent derrière leurs dossiers, devenant les rois des statuts et du règlement intérieur et non des hommes au service de leurs concitoyens.
Il est dangereux de perdre cette sensibilité humaine qui permet de pleurer avec ceux qui pleurent et de se réjouir avec ceux qui se réjouissent. C’est la maladie de ceux qui perdent « les dispositions » de l’homme. Car au fil du temps, ils perdent la notion de ce qui leur a fait accepter leur condition humaine, dispositions à l’humilité et au don, au détachement et à la générosité.
3/ La maladie de la planification et du fonctionnarisme.
Quand l’homme planifie tout minutieusement et croit que planifier à la perfection fait réellement avancer les choses, il se transforme pratiquement en fonctionnaire ou en expert fiscal. Tout bien préparer est nécessaire, mais il ne faut jamais succomber à la tentation de vouloir enfermer ou piloter la liberté de l’homme. On se laisse gagner par cette maladie parce qu’il est toujours plus commode et plus facile de se caler dans ses propres positions statiques et inchangées. La vie est fraîcheur, imagination et nouveauté.
4/ La maladie de la mauvaise coordination.
Quand il n’existe plus de communion entre les membres d’une société et que le corps est privé de son fonctionnement harmonieux et de sa tempérance en devenant un orchestre qui produit seulement du chahut parce que ses membres ne collaborent pas et ne vivent pas l’esprit d’équipe. Lorsque le pied dit au bras « je n’ai pas besoin de toi » ou la main à la tête « c’est moi qui commande » provoquant ainsi malaise et scandale au sein de la société.
5/ La maladie de la rumeur, de la médisance et du commérage.
C’est une maladie grave qui commence simplement, peut être pour faire un brin de causette, et qui s’empare de la personne. Celle-ci se met alors à semer la zizanie et, dans beaucoup de cas, à assassiner de sang-froid la réputation de ses propres collègues et amis. C’est la maladie des personnes lâches qui, n’ayant pas le courage de parler directement, parlent dans le dos. Gardons nous du terrorisme des bavardages.
6/ La maladie qui consiste à diviniser les chefs.
C’est la maladie de ceux qui courtisent leurs supérieurs en espérant obtenir leur bienveillance. C’est la maladie de ceux qui sont victimes du carriérisme et de l’opportunisme. Ils vivent le service de l’autre en pensant uniquement à ce qu’ils pourraient obtenir et non à ce qu’ils doivent donner. Ce ne sont que des personnes mesquines, malheureuses et uniquement inspirées par leur égoïsme fatal. Cette maladie peut être aussi celle des supérieurs quand ils courtisent leurs collaborateurs pour obtenir leur soumission, leur loyauté.
7/ La maladie de l’indifférence envers les autres.
La plus grave pour l’homme. Elle survient quand chacun ne pense qu’à soi et perd la sincérité et la chaleur des relations humaines. Quand le plus expert ne met pas ses connaissances au service des autres qui le sont moins. Quand on vient à apprendre quelque chose et qu’on le garde pour soi au lieu de le partager de manière positive avec les autres. Quand, par jalousie ou par ruse, on éprouve de la joie à voir l’autre tomber au lieu de le relever et de l’encourager.
8/ La maladie du visage lugubre.
Elle est celle des personnes qui estiment que, pour être sérieux, il faut porter le masque de la mélancolie, de la sévérité, et traiter les autres – surtout ceux que l’on considère comme inférieurs – avec rigidité, dureté et arrogance. En réalité, la sévérité théâtrale et le pessimisme stérile sont souvent le sentiment de peur ou d’insécurité. L’homme doit s’efforcer d’être une personne courtoise, sereine, enthousiaste et joyeuse qui transmet la joie quel que soit l’endroit où il se trouve. Un homme qui doit être fier de faire partie de la société, est un cœur heureux qui irradie et communique sa joie à tous ceux qui l’entourent : cela se voit de suite ! Ne perdons donc pas cet esprit joyeux, qui sait manier l’humour et même l’autodérision, qui font de nous des personnes aimables même dans les situations difficiles. Comme une bonne dose d’humour sain nous fait du bien.
9/ La maladie des cercles fermés,
quand l’appartenance à un petit groupe (les Élus) devient plus forte que celle d’appartenance à la société. Cette maladie commence toujours par de bonnes intentions mais, au fil du temps, elle asservit ses membres, devient un cancer qui menace même l’harmonie de la société et cause tellement de mal qu’elle devient autodestruction. C’est le mal qui frappe de l’intérieur et qui peut conduire la société à sa perte.
10/ La maladie du profit mondain, des exhibitionnistes.
Elle est celle de l’homme qui transforme son service en pouvoir, et son pouvoir en marchandise pour obtenir des profits mondains ou davantage de pouvoir. C’est la maladie des hommes qui cherchent insatiablement à multiplier les pouvoirs et, dans ce but, ils sont capables de calomnier, de diffamer, de discréditer les autres, naturellement dans le but de montrer qu’ils sont davantage capables que les autres. Cette maladie fait un énorme ravage au sein de la société parce qu’elle conduit les personnes à justifier l’usage de n’importe quel moyen pour atteindre ce but, souvent au nom de la justice et de la transparence. De telles maladies et de telles tentations sont naturellement un danger pour toute communauté. Elles peuvent frapper au niveau individuel et même communautaire.
pChers amis, vous allez me trouver sentencieux, pédant et je ne sais quoi encore. Vous aurez sûrement de bonnes raisons pour cela. Mais si nous voulons donner un nouveau souffle à notre société, n’est-ce pas le moment de réfléchir à ces maladies et de trouver, ensemble, les thérapies appropriées pour une guérison totale ? C’est toute la démarche à entreprendre pour une société de qualité dans la convivialité. Le sentiment de fierté qui doit nous habiter n’est pas exempt d’humilité et de retour sur soi. Il nous appartient de ne retenir que ce qui nous concerne dans la seule ambition de faire toujours mieux.
Si NOUS VOULONS DONNER un nouveau SOUFFLE À LA SOCIÉTÉ, N’EST-CE PAS LE MOMENT DE RÉFLÉCHIR À CES MALADIES ET DE TROUVER, ENSEMBLE, LES THÉRAPIES APPROPRIÉES POUR UNE GUÉRISON TOTALE.
Lancement de la saison 2015 (VM 4 4 2015)
05 avril 2015
Débat d'orientation budgétaire (VM 02 04 2015) : préparez vos mouchoirs !
02 avril 2015
Commentaires sur "http://grimagora.blogspot.fr/"
BUDGET COMMUNAL 2015 : AU SECOURS, LA CRISE ENCORE !
Article de Var-Matin du 2 avril titré :
"Le passage à l'heure des économies est arrivé."
Lors du dernier conseil municipal (31 mars) le Document d’Orientation Budgétaire (DOB) a été présenté aux élus, pas aux Grimaudois, ils ne comprendraient pas…tant le sujet ne peut concerner que les initiés : les élus donc….
Cette présentation est un rituel imposé par les textes régissant les collectivités locale et qui, chaque année, précède le vote du budget examiné lors du prochain conseil (le 9 avril ?).
L’objectif est de présenté dans un contexte national voire international, la situation économique et ses conséquences au plan communal. Le sujet est vaste et dense ce qui justifie certainement un exposé de 90 minutes devant des élus subjugués ou selon, assoupis.
La présentation du contexte économique national, reprend des thèmes bien connus : le déficit du budget de la France, la crise en somme et l’obligation de rigueur et d’austérité qui s’impose.
Concernant cette antienne du déficit on ne peut s’empêcher d'avoir un regard différent :
Article paru dans le Journal Du Dimanche (JDD) le 9 février 2015
Combien l'évasion fiscale coûte-t-elle à la France?
L'évasion fiscale, qu'est-ce que c'est?
L'évasion fiscale est une pratique qui a pour but de diminuer la charge fiscale. Ainsi, un particulier ou une entreprise décide de placer de l'argent sur un compte à l'étranger, sans prévenir les autorités françaises, afin de ne pas payer d'impôts sur cette somme. "Ce sont les tricheurs qui ouvrent des comptes à l'étranger sans les déclarer au fisc français", résumait au JDD.fr Philippe Bruneau, le président du Cercle des fiscalistes. Elle est considérée comme de la fraude fiscale et donc pénalement répréhensible.
Lire aussi : Evasion, expatriation ou exil fiscal?
Selon le Conseil des prélèvements obligatoires, l’évasion fiscale est "l’ensemble des comportements du contribuable qui visent à réduire le montant des prélèvement dont il doit normalement s’acquitter". "S’il a recours à des moyens légaux, l’évasion entre alors dans la catégorie de l’optimisation. À l’inverse, si elle s’appuie sur des techniques illégales ou dissimule la portée véritable de ses acteurs, l’évasion s’apparente à la fraude."
Combien ça coûte?
Le syndicat Solidaires-Finances publiques estime que le montant de la fraude fiscale se situe dans une fourchette de 60 à 80 milliards d'euros pour la France. Des chiffres repris à son compte en 2013 par Bernard Cazeneuve, alors ministre du Budget. Dans un rapport d'information sur la lutte contre les paradis fiscaux, les deux députés Alain Bocquet (PCF) et Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République) écrivaient également, fin 2013, que la fraude fiscale entraînait un manque à gagner de 60 à 80 milliards d'euros par an.
Une somme conséquente puisque le déficit de l'Etat s'est élevé à 85,6 milliards d'euros en 2014, selon Bercy. La France a reporté à 2017 l'objectif d'un déficit de ses administrations publiques sous la barre des 3% comme prévu par les traités européens. Le gouvernement a annoncé un plan d'économies de 50 milliards d'euros en trois ans.
Selon le rapport parlementaire réalisé en 2013 par Christian Eckert, devenu depuis secrétaire d'Etat chargé du Budget, 5,8 milliards d'euros ont été déposés sur des comptes offshore par 6.000 contribuables français.
Et, selon une autre source : L'agence des droits fondamentaux de l'Union européenne :
Cette "crise" que certains qualifient de systémique est pour une grande partie, effectivement, la résultante d'un système qui place l'évasion fiscale des particuliers comme des entreprises en son centre.
D'ailleurs le terme d'évasion fiscale est considéré par les "experts" en dissimulation comme impropre, ils parlent d'optimisation fiscale, puisque la technique est légale !
La "crise" donc, oblige l'Etat à réduire ses dotations aux collectivités locales, bien que leur ayant "rétrocédé" des missions qui jusqu'alors étaient les siennes. De toute façon un peu de rigueur fera le plus grand bien à ces collectivités considérées comme trop dépensières. Cette critique est bien sûr largement contestée par les dites collectivités locales, qui se considèrent comme des boucs émissaires.
Même si l’argumentaire de la « crise » est à bien des égards contestable, une réalité demeure, l’Etat a entrepris de réduire ses participations financières ce qui conforte l’impérieuse obligation d’une gestion plus rigoureuse qui doit s’imposer aux élus ! Des esprits chagrins pourraient donc imaginer que ce n’était pas le cas jusqu’alors ?
D'où cette phrase trouvée dans le DOB présenté le 31 mars :
« La baisse drastique des dotations sonne le glas d’un certain mode de gestion. Finie la surenchère des promesses électorales, les projets engagés sans examen budgétaire préalable…. Les Maires et leurs équipes municipales vont devoir faire des choix, arbitrer entre les projets, prioriser les secteurs d’intervention, abandonner ceux qui génèrent des frais de fonctionnement. « Il va falloir apprendre à dire non, à programmer, à planifier et à faire des choix judicieux… » affirme Joël BRUNEAU, Maire UMP de Caen28……… »
.....donc, concernant Grimaud :
" Trop d’équipements sont mis en œuvre sans évaluation précise du besoin de la population ou de l’usager" Ce n'était pas le cas ?
et :
"Le réflexe doit être immédiat. Tout projet d’intervention doit être précédé d’une analyse des effets induits sur les dépenses de fonctionnement de la Collectivité, et de mesurer la capacité budgétaire de celle-ci à y faire face durablement."
L'évasion fiscale là aussi :
"Les défauts et/ou erreurs d’imposition sont nombreux sur le territoire (de Grimaud), permettant à un grand nombre de redevables d’échapper en tout ou partie à l’impôt. Les cas les plus fréquents concernent des constructions ou extensions réalisées sans permis, ainsi que des défauts de déclaration conduisant à minorer significativement les surfaces habitables." Qui l'eut cru !
la rigueur partout :
"Une réflexion doit être engagée pour limiter l’extension des services les plus coûteux. Dans cet ensemble, les services dits de proximité liés à l’enfance et la petite enfance, ainsi que les activités scolaires et périscolaires sont indéniablement les secteurs les plus consommateurs."
Sans oublier le personnel :
"- Surseoir à tout projet de création de poste"
" - Mise en place d’une politique de promotion salariale assise sur l’efficacité individuelle et collective"
"- Contrôler et encadrer les heures supplémentaires "
"- Lutter contre l'absentéisme "
En conclusion: la pingrerie de l'Etat dépossédé de ses recettes fiscales va enfin permettre à la commune de Grimaud d'avoir une gestion rigoureuse !
Un débat sans débat mais surveillez vos impôts !
Ceci dit, on a du "foncier" en stock, on pourra toujours revendre...