Previous month:
septembre 2011
Next month:
novembre 2011

octobre 2011

Lu sur le site de la Mairie de Grimaud

Heureusement qu'ils n'ont pas précisé en quelle année pour les dates sous citées :)))

http://www.mairie-grimaud.fr/actualites/grimaud-fiche.php?fi=319

 La délibération du 15 décembre 2008 approuvant le PLU a été annulée par le Tribunal Administratif de Toulon le 23 décembre 2010.

 Cette annulation est motivée par trois considérations :

- la modification de l’emprise au sol dans la zone UB (réduite de 0,50 à 0,20) après enquête publique (il s’agissait de la rectification d’une erreur matérielle mais elle aurait du être soumise à enquête)

 -  l’insuffisance de lisibilité des servitudes d’utilité publique sur les parties agglomérées de la commune (du fait des superpositions des différents graphismes le plan au 1/20.000èmes est apparu d’une échelle inadaptée).

 -  le classement en zone à urbaniser (3AU) de la zone Enfernon-Les Fontaines (du fait de la présence d’une zone naturelle d’intérêt floristique et faunistique qui couvre une partie de ce massif).

 Le contenu du plan local d’urbanisme de Grimaud, à ces trois exceptions près, est entièrement validé.

 Afin de remédier au plus vite aux inconvénients résultant de cette situation, le Conseil Municipal va de nouveau délibérer sur ce même document d’urbanisme amendé comme il se doit pour tenir compte de la décision du Tribunal.

 Cette délibération devrait intervenir dans la première quinzaine de février.

 Le plan local d’urbanisme sera ensuite remis à enquête publique dès que possible.

 Durant la période intermédiaire, qui devrait durer jusqu’au mois de juin prochain, les demandes d’autorisations d’occupation du sol seront instruites, conformément aux dispositions légales applicables aux communes disposant d’un ancien document d’urbanisme dont la révision est en cours de finalisation.

 


TV83-La LGV Paca - Positions du CG 83

La LGV dans le Var : Le Conseil général communique.

14 octobre 2011 | Auteur:

Pour compléter le reportage que vous trouverez au sommaire du mois d’Octobre dans la rubrique « Question d’actualité », voici la position du Conseil général du Var.“Le choix du tracé LGV ne peut être uniquement fondé sur des éléments techniques et sur le gain de temps ! ”
Les conseillers généraux du Var, toutes tendances confondues, ont adopté à l’unanimité le vendredi 7 octobre , une motion sur le tracé LGV :
Les élus du Département souhaitent manifester leurs inquiétudes  face à l’évolution du projet LGV conduit par Réseau Ferré de France. Ils rappellent à ce titre les engagements du gouvernement par lesquels  le maître d’ouvrage du projet doit utiliser les lignes et emprises existantes chaque fois que possible, ou en souterrain si nécessaire, afin de protéger es riverains, la biodiversité et les exploitations agricoles.

Les élus du Conseil général ont rappelé que le choix du tracé des 3 métropoles (Marseille – Toulon – Nice) induit nécessairement le positionnement de la gare à Toulon Centre.
Ils rappellent également leur attachement à l’amélioration du réseau TER et du fret qui constitue une priorité en matière de politique de déplacement et de transport.
Le choix du tracé LGV ne peut être uniquement fondé sur des éléments techniques et sur le gain de temps.

Enfin, sur le plan financier, au regard des montants avancés, le montage imaginé doit être totalement repensé à la faveur d’autres modes de financement, car il est hors de proportion avec les capacités des collectivités.

Les élus du Département demandent à RFF de respecter à la lettre les engagements de l’État, tout autre projet étant considéré comme inacceptable pour le Var. ”

Partagez cet article :
  • Twitter
  • Facebook
  • LinkedIn
  • viadeo FR
  • del.icio.us
  • Reddit
  • Digg
  • email

Lire entre les vignes : à consommer sans modération

#
Imprimer la page en cours   Envoyer la page en cours à un ami

DAZIBAO

LIBRAIRIE

Lire entre les vignes


Quoi de plus agréable que de parler de livres autour d’un bon verre de vin ? C’est le pari d’Adeline Courchet qui, après des études de lettres et de théâtre, a choisi d’ouvrir une librairie bar à vin à Sainte-Maxime.  

Pour se former au métier de libraire, elle travaille une année dans un Espace culturel puis construit son propre projet : “Je venais de passer une année enrichissante mais pénible. Certes j’avais appris comment commander, présenter les livres, conseiller les clients, mais une librairie ce n’est pas que ça !”. Très vite elle affine le concept, démarche les banques et recherche un lieu, qu'elle trouve dans un ancien restaurant dont elle achète le pas-de-porte et la licence grande restauration. Lire entre les vignes ouvre en juin 2009.

Avec sa petite terrasse offrant une vue dégagée sur le golfe de Saint-Tropez, l'endroit ne manque pas de charme.
À l'intérieur la librairie propose plus de 5 000 références : sur tables les best-sellers et les nouveautés ; à gauche une alcôve jeunesse ; à droite des rayonnages dédiés successivement à l'ésotérisme, le pratique, l'écologique, la poésie et la littérature étrangère ; au cœur un joli patio pour bouquiner à l’ombre. Puis vient l'espace bar à vin, habillé de livres consacrés aux vins : documentaires, encyclopédies, beaux-livres. Petits vins sympathiques et grands crus - mais aussi boissons non alcoolisées - se disputent ici la faveur des clients, et une carte de restauration légère complète l'offre. Une dernière salle accueille un fonds où se côtoient poésie, théâtre et classiques de la littérature française.

Malgré la convivialité du lieu et sa belle vitrine, le bilan de la libraire, au bout de deux ans, n’est pas des plus optimistes : “La conjoncture est telle que j’ai du mal à tenir mes objectifs.” Autre difficulté : plus centrales, les maisons de presse en ville vendent mieux les best-sellers. Enfin, deux nouvelles librairies ont ouvert depuis 2009, ce qui porte à cinq le nombre de points de vente de livres à Sainte-Maxime, 13 000 habitants à l’année. Pour se démarquer, elle multiplie donc les animations : concerts, dédicaces, spectacles de théâtre, conférences, expositions, rencontres. Elle n’hésite pas non plus à développer une offre de livres d’occasion, de cartes postales, de globes, etc.
Très présente sur les réseaux sociaux, Adeline Courchet a su faire de Facebook sa première arme de communication, et 4 000 “amis” suivent au quotidien la programmation de Lire entre les vignes. Elle travaille également à l’organisation du Salon du livre de Sainte-Maxime (22-23 octobre) et espère développer ses liens avec les collectivités pour améliorer son CA. Souhaitons que la conjoncture n’ait pas raison du dynamisme affiché par cette jeune libraire.