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avril 2014

Var Matin du 26 avril : Le CNSM derrière J2B à Hyères

Le Club Nautique de Sainte Maxime est allé soutenir le Grimaudois Jean Baptiste Bernaz jeudi en rade d'Hyères.

Celui qui a déjà participé aux Jeux Olympiques de Pékin et Londres visent la passe de 3 en espérant bien se qualifier pour les prochains Jeux Olympiques à Rio de Janeiro au Brésil à l'horizon 2016.

Il serait bon que la municipalité de Grimaud s'intéresse à ce sportif de haut niveau qui donne une belle image de la jeunesse et serait une belle vitrine pour la commune en terme de communication.

Un partenariat avec le CNSM dans le cadre de l'intercommunalité pour soutenir un Grimaudois, une belle idée à étudier.

VM 26 04 2014


Communiqué de Maître Jean Marie Troegeler sur la situation à Port Grimaud

Suite à la lettre adressée par Madame De Margerie aux Administrés de PG1 que vous trouverez ci desssous en PJ, voici la réponse de Maître Jean Marie Troegeler, Président de PG2 :

"Madame De MARGERIE a démissionné.
 J’ai l’honneur d’être le responsable de cette cuisante défaite.
 C’est aussi une défaite pour le Maire en exercice puisque c’est lui qui avait commandité le licenciement du Maitre de Port et qui se trouve ainsi à l’origine de cette bérézina.
 Vous trouverez ci-joint copie de la lettre que la Présidente de PG1 vient d’adresser aux 950 propriétaires de PG1.
 Tant en ma qualité d’Avocat qu’en celle de Président de PGII, je suis à ses yeux, seul responsable de cette débâcle, Madame De Margerie omettant naturellement de dire ce qui l’a amenée à cet endroit.
 Je ne polémiquerai pas sur ses gémissements pitoyables et mensongers.
 Je me suis battu devant les Tribunaux et c’est le Droit qui a triomphé.
 J’espère simplement, que les prochaines élections de PG1, qui seront organisées par un administrateur judicaire, rameront le calme et la sérénité et surtout des relations confiantes et amicales avec la nouvelle équipe."

PJ : lettre que la Présidente de PG1 vient d’adresser aux 950 propriétaires de PG1.

Demission Demission 2

 


 


Var Matin du 5 avril 2014 : le mystère de l'écharpe du Maire !?

En regardant avec attention cette photo (prise par Var Matin et non truquée je précise) de nos Élus sur le parvis de la mairie après les élections, je n'ai toujours pas compris comment notre Maire avait fait pour enfiler son écharpe de premier magistrat de la ville.

Une partie sur la veste et l'autre sous la veste, diantre, comment a t'il fait?

Essayez, vous verrez, ce n'est pas si facile que ça!

Trève de plaisanterie, voilà une image de marque forte pour attaquer ce mandat.

En fait, il parait qu'il n'y avait que 4 écharpes pour 8 adjoints donc ils ont du partager...

En voilà un mandat qui démarre en fanfare!

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Var Matin du 5 avril 2014 : le Maire et "sa nouvelle équipe" !

À la façon d'un Président de la République Française actuelle qui dit entendre le "peuple" et fait du neuf avec du "vieux" en reprenant les mêmes par le biais des chaises musicales dans notre nouveau Gouvernement, nous avons cette chance d'avoir à Grimaud une "nouvelle équipe" autour de notre Maire.

Regardez bien et cherchez la nouveauté ! Même Premier Adjoint, 4 adjoints sur 7 à l'identique du mandat précédent puisqu'il a bien fallu remplacer les 3 adjoints démissionnaires du Conseil précédent qui se retrouvent aujourd'hui au bout du banc comme membres de l'opposition.

Ubu , quand tu nous tiens !

 

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Le portail des transports publics et de la mobilité ("http://www.mobilicites.com/011-2725-Municipales-quand-le-tram-a-fait-pancher-la-balance.html")

31 mars 2014 | mis à jour le 1er avril 2014 | par Marc Fressoz

Municipales 2014 : quand le tram fait pencher la balance

Le second tour des élections municipales, le 30 mars 2014, qui ont fait basculer plus d’une centaine de villes vers la droite, s’est à certains endroits joué sur des projets de transports en commun. Le tram n’en sort pas toujours vainqueur.

Le tram d’Amiens va-t-il passer à la trappe ? La question se pose après la défaite dimanche 30 mars 2014 du candidat PS Thierry Bonté qui avait porté ce projet programmé pour 2019.

Élue avec 50,39 % contre 33,80% pour son adversaire, la nouvelle première édile Brigitte Fouré (UMP-UDI) a cristallisé la campagne autour de ce sujet. Avec un programme clair : le “renoncement au projet actuel de tramway“. En cause le coût de l’équipement jugé trop important pour cette ville de 132 000 habitants.

A la place, Brigitte Fouré veut améliorer les transports urbains existant : pas de bus à haute niveau de service (BHNS) au programme mais la mise en place de parkings relais à la périphérie de la ville pour favoriser la mobilité avec les transports en commun, la desserte du CHU sud d’Amiens, l’expérimentation de bus électriques où encore la gratuité des transports public si …les finances le permettent.

L'effet papillon d'Amiens à Caen
Un renoncement au tram d’Amiens aurait par ricochet des répercussions jusqu’à Caen qui a prévu de remplacer son TVR par un matériel fer. Les deux desseins sont en effet intimement liés, les agglomérations s’étant associées pour mutualiser et massifier la commande.

Le but : obtenir ainsi des prix unitaires plus intéressants. En février, Amiens Métropole et Viacités avaient ainsi signé une première convention en vue d’étudier le design des rames.

Mais le résultat des élections pourrait donc remettre en cause ce projet commun. D’autant qu’à Caen, la couleur politique de la mairie change également. Le maire socialiste Philippe Duron a été battu avec 41,48% des voix contre 46,81% à son adversaire UMP Joel Bruneau. Or ce dernier a annoncé durant la campagne sa préférence pour un "BHNS réalisable financièrement"

En somme, il y a des risques qu’Alstom et les autres constructeurs qui lorgnaient ce marché groupé doivent se résoudre à faire une croix sur ce débouché.

Plus au sud, dans une ville de moindre importance, Aubagne, le tram a coûté sa place au maire sortant. L’élu communiste Daniel Fontaine battu par 40,87% contre 47,49% au candidat d’union de la droite Gérard Gazay a payé son choix audacieux de maintien de la gratuité du transport public et d’un financement de l’équipement par une hausse du versement transport. La première ligne sera bien inaugurée cette année, mais le candidat victorieux l’a annoncé dans son programme : il n'y aura pas de seconde tranche. Quant à la gratuité, elle risque d’être abandonnée.


Drôle de Tram
Un beau tram ne suffit pas assurer une réélection. A Tours, Jean Germain, le maire PS de Tours élu depuis 1995 a été défait dimanche par 41,67% des voix contre 49,78 % pour son adversaire Serge Babary. Une des adjointes du maire sortant, Régine Charvet-Pello, par ailleurs patronne de l’agence RCP Design Global avait signé et coordonné le design du tram.

A Toulouse, quatrième ville de France, le métro l’a emporté sur le tram : avec le prisme transport, c’est la lecture qu’on peut faire des résultats du scrutin. Jean-Luc Moudenc ( UMP) a pris sa revanche sur Pierre Cohen (PS). Pour s’attaquer au problème de circulation automobile. Le premier prévoit la réalisation “d’une troisième ligne de métro sans augmentation d’impôt» tandis que le sortant et son adjoint aux transports Bernard Marquié prônait de nouvelles lignes de tram. Reste à savoir si la promesse du nouvel élu sera tenable financièrement. Certains observateurs estiment que “ le doublement de la longueur des quais des lignes actuelles serait plus pertinent“.

A Avignon le tramway porté par l'UMP Marie Josée Roig, survivra-t-il à l'alternance qui a vu Cécile Helle (PS) l'emporter avec 47,48% des voix ? La candidate socialiste avait fait campagne contre le tramway en proposant de créer à la place deux lignes de BHNS de 27 km au total. Mais entre les deux tours, répondant à une interview du journal La Provence, Cécile Helle indiquait que si le dédit à payer aux entreprises en cas d'abandon du projet de tramway était trop élevé elle demanderait leur avis aux avignonnais par référendum. Par contre elle maintien son projet de gratuité du réseau.


Grenoble, laboratoire vert ?
Par ailleurs, il est évident que tout l’univers de la mobilité suivra avec intérêt la gestion de Grenoble. Grande première, dimanche 31 mars, la ville jusqu’alors socialiste a porté à sa tête un écologiste, Eric Piolle (EELV). Grenoble promet d’être un vrai laboratoire si l’on se fie au volet transport de la nouvelle équipe : il prévoit des transports en commun moins polluants, d’améliorer le stationnement des résidents, de retirer au secteur privé la gestion des parkings, de viser le triplement de la pratique du vélo, de développer les zones 30, de mettre fin aux projets d’élargissement de l’A480 ou encore d’abandonner le prolongement de l’A51.

Finalement ce qu'il y a de rassurant c'est de voir que contrairement à ce qui se passait il y a quelques années quand les tenants du transport public s'opposaient aux défenseurs de l'automobile, tous les candidats (ou presque) ont bien conscience que l'avenir de la mobilité et du bien vivre en ville passe par le développement du transport collectif et des modes actifs.   


Marc Fressoz avec Robert Viennet

Urbain